Il est, aujourd’hui, admis que la corruption et le blanchiment de capitaux n’épargnent nulle activité humaine, et que ces fléaux atteignent, à la fois, les administrations publiques et le secteur privé. Plusieurs estimations vérifiables rendent cette donnée suffisamment acquise, et l’on n’a pas, ici, l’intention de la remettre en cause1.
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